4h27. Les grues glaciologues picorent la mémoire obscène.

4h27. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h28. Lape la chatte, son infirmité est celle de la vitesse lunaire.

4h28. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h29. Sur le pas de mon balcon, le tournesol me dévisage.

4h29. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h30. Solitude salvatrice d'une fulguration omniprésente.

4h30. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h31. Un rythme est à soutenir à la thèse bientôt pluviale.

4h31. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h32. J'ai nagé dans les limbes oublieuses, résurrection automatique.

4h32. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h33. L'infini presque parfait perché sur les épaules.

4h33. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h34. Au souffle bâtisseur, le déséquilibre de ce qui arrive.

4h34. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h35. En sifflant 3 fois, dire j'ai gagné toute seule.

4h35. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h36. La fleur d'amandier persiste en colère à tomber.

4h36. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h37. Elle sait perdre par cycle car Elle revient toujours.

4h37. Et le kawaii yokai is still in the shell.

4h38. La technologie comme prétexte pour aimer tout simplement.

4h38. And kawaii yokai is still in the computer.